⚡️ Simulateur de calcul de l'impôt sur les sociétés (IS) pour les indépendants 💶

1ère année : sans chiffre d’affaires, en SARL, le coût total maximum serait de 2000€ entre les charges sociales (1000€), les charges fiscales et les coûts administratifs (1000€)

2ème année : sans chiffre d’affaires, en SAS, le coût total maximum serait de 2400€ entre les charges sociales (1000€), les charges fiscales (CFE de 400€) et les coûts administratifs (1000€)
Ces informations prennent en compte l’ACRE.

- Le prêt d‘honneur : contractez un prêt à taux 0 allant de 2 000 à 50 000€ - il faut que vous justifiiez d’un business plan qui tienne la route. Les organismes sont ADIE, France Active, Réseau Entreprendre…
- La Love Money : bénéficiez d’un financement de la part de vos proches sous forme de prêt d’argent, de don ou d’investissement en capital s’ils croient à votre projet. En outre, vous serez d’autant plus crédible aux yeux des établissements bancaires.
- Le crowdfunding : obtenez gratuitement des levées de fonds provenant d’investisseurs extérieurs via des plateformes en ligne sur lesquelles vous présentez votre projet.
- Le micro-crédit : si vous avez un projet qui ne nécessite pas beaucoup de fonds, optez pour le micro-crédit. (Max. 10 000€ selon les établissements)
- Les aides à la création d’entreprise : ARCE, LACRE, ACRE…

La SARL, assujettie à l’IS, ne peut bénéficier d’une exonération sur les plus-values de cession.
À contrario, la SARL, assujettie à l’IR, peut bénéficier d’une exonération sur les plus-values de cession des petites entreprises.

2 conditions à cette exonération sont à respecter :
- si l’année où a été réalisée la plus-value, le chiffre d’affaires réalisé est en deçà de 250 000€ pour les activités commerciales et agricoles et de 90 000€ pour les prestations de services
- si l’exercice de l’activité professionnelle est supérieur à à 5 ans au moment de la réalisation de la plus-value

Il faut savoir que la SARL est une société fermée, puisque tout cession de parts sociales à des personnes extérieures à la société requiert la majorité des associé (au moins ¾ du capital). Cependant, pour toute cession de parts sociales à un associé, conjoint, ascendant… est en principe soumise à aucune restriction si ce n’est une clause statutaire qui spécifie qu’un agrément entre associés doit être effectué.

Si vous êtes en déficit la première année, il sera pris en compte dans votre déclaration d’IR et vous bénéficiez directement d’une réduction sur votre revenu imposable.

En EURL soumise à l’IR, l’associé qui a contracté un prêt dans le but d’une acquisition de parts sociales, peut tout à fait déduire les intérêts d’emprunt de son résultat.
En cas de transformation d’une SARL à l’IS en EURL à l’IR, les intérêts déductibles sont ceux exclusivement dus après la transformation.

Un examen de conformité fiscale pourrait vous aider à restructurer votre organisation afin de respecter la loi. De plus, lorsque la déclaration aura été effectuée, l’administration fiscale peut être plus enclin à éviter un contrôle fiscal car si vous avez un examen de conformité fiscal (ECF) à portée de mains, cela signifie qu’un redressement fiscal a peu de chance d’être envisageable.

- La Garantie ÉGALITÉ Femme : toutes les femmes peuvent avoir un accès au crédit bancaire dans le but de financer la création, la reprise ou le développement de leur entreprise.
- Les Clubs Locaux d’Épargne pour les Femmes qui Entreprennent : 0 garantie et apport personnel exigé avec des taux d’intérêt plus faibles.
- Le prix Michelle Maugain : chèque allant de 1500€ à 2000€ pouvant être attribué à une femme diplômée de l’université si elle a créé sa propre entreprise.
- Les réseaux féminins : l’incubateur WILLA, le réseau EFOIR (association), Action’elles (association), Force Femmes (association) et bien d’autres.

Vous pouvez faire supporter à votre SAS des cotisations de retraite par capitalisation. C’est facultatif mais cela peut être judicieux de l’opter pour des raisons fiscales. En effet, il n’y a pas d’IR engendré par ces cotisations alors que la SAS place quand même de l’argent qui peut être récupéré en capital le jour de sa retraite !

1ère année : sans chiffre d’affaires, en SAS, le coût total maximum serait de 1000€ entre les charges sociales, les charges fiscales et les coûts administratifs (1000€)

2ème année : sans chiffre d’affaires, en SAS, le coût total maximum serait de 1400€ entre les charges sociales, les charges fiscales (CFE de 400€) et les coûts administratifs (1000€)
En effet, en SAS, si vous n’avez pas de rémunération, vous n’avez pas de charges sociales à payer.

Si la première année, vous constatez une perte de 4 000€ et que l’année suivante, vous dégagez un bénéfice de 10 000€. Lors de la première année, votre déficit est déclaré à l’administration fiscale. Lors de la deuxième année, le bénéfice qui sert de base au calcul de l’impôt sera de (10 000€ - 4 000€ ) = 6 000€.
Si la société est encore en déficit à la deuxième année, elle reporte le solde sur les bénéfices des années à venir.

Vous êtes associé et président et vous avez optez pour le choix de vous verser un salaire, vous serez considéré comme assimilé salarié. Vous bénéficierez de la même protection sociale que les salariés. Cependant, si vous tombez malade ou si vous avez un accident et que vous êtes contraint de cesser temporairement votre activité, vous ne profiterez pas des indemnités chômage de Pôle Emploi.

En réalité, créer une SASU engendre les mêmes problématiques à se poser que lors de la création d’une EURL. L’immatriculation s’effectue de la même manière et les procédures sont mêmes plus simples qu’en SARL surtout quand le président ne se rémunère pas. Le coût de constitution est identique ainsi que la gestion comptable et fiscale.

Une dépense apparentée en une dépense professionnelle a 2 conséquences positives majeures : cette dépense va constituer une charge qui abaisse le résultat et vous pouvez récupérer la TVA. Vous pouvez déduire tout ce qui est relatif au développement de votre business et atteint l’objet de la société. À partir du moment où l’on peut établir un lien entre la dépense et l’activité de la société, la dépense peut être déductible.
Attention, faites bien la distinction avec les dépenses personnelles, qui elles ne peuvent en aucun cas être déduite ; cela vaut également pour tout ce qui est contraventions, amendes…
Lorsque vous détenez un abonnement mobile qui vous sert à des fins personnelles et professionnelles, essayez d’estimer le pourcentage destiné à vos fins professionnelles : vous aurez une démarche fiscale cohérente.

La réponse est oui ! Lorsque vous quittez votre emploi, la somme de votre PEE va être débloqué et la CSG sera automatiquement déduite. Vous décidez alors de verser votre PEE sur un PER et vous pourrez alors déclarer ce versement au moment de la déclaration de vos impôts. La somme versée viendra en réduction de vos revenus !

- Augmenter sa propre rémunération et celle des employés avec des primes qui peuvent réduire le montant du bénéfice imposable
- Utiliser des crédits et réductions d’impôts comme le crédit d’impôt recherche, le crédit d’impôt pour dépenses de prospection commerciale…
- Demander l’avis d’un expert-comptable pour toutes les optimisations fiscales possibles
- Utiliser les déficits des exercices précédents pour réduire le résultat imposable
- Souscrire à des assurances complémentaires
- Créer une SASU dans une zone en difficulté par exemple (ZAFR) vous exempte du paiement d’impôt durant les 2 premières années.